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Le « Bien Commun » : Epée de Damoclès de la propriété individuelle ?

La Propriété Individuelle menacée par le Bien Commun-Ares Revenu Passif-Olivier Beining

Le Premier Cercle

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💪 Une Communauté de Spartiates : tu n’es pas livré à toi même.

Le gouvernement.

Jusqu’où peut-il aller exactement, tout ça au doux et noble nom du « bien commun » ?

Tu ne te poses jamais la question ?

Pourtant tu en as eu un échantillon il n’y a pas longtemps non ?

Laisse-moi te parler de l’Histoire.

Cette vieille dame discrète, mais toujours présente, qui nous murmure des histoires d’horreur où la propriété individuelle a été engloutie, aspirée dans un trou noir.

Balayée par la tornade d’un pouvoir, clamant haut et fort, agir non pas pour toi, non pas pour moi…

Mais pour le « bien de tous ».

Réveille-toi, et sens l’urgence avec moi.



L’Ordre Exécutif 6102 : Toi contre l’État ?

En 1933, Franklin D. Roosevelt, en plein milieu de la Grande Dépression, a balancé un décret qui a fait tanguer le bateau de la propriété individuelle comme jamais.

L’Ordre Exécutif 6102, ça ne te dit rien ?

C’est simple : tu détiens de l’or, tu le donnes à l’État, ou tu morfles.

Pourquoi ?

Pour le « bien » de l’économie !

Alors, tu te demandes peut-être pourquoi ce bon vieux Roosevelt a pris une mesure aussi radicale, non ?

Le monde économique était à deux doigts d’exploser.

Les banques se cassaient la figure, et le système monétaire, basé sur l’or, suffoquait sous la pression.

Roosevelt voulait redonner un peu d’air à l’économie américaine en contrôlant le magot et en faisant plonger la valeur du dollar.

En bref, une mesure de dingue pour contrer une crise de dingue.

Mais attend, c’est là que ça devient croustillant.

Le truc, c’est que cette affaire pose une vraie question, toujours brûlante.

Jusqu’où l’État peut te pousser pour faire pencher la balance entre l’intérêt de tous et ton droit sacré à la propriété individuelle ?

(si ça te rappelle un truc avec la liberté individuelle pendant la pandémie c’est normal)

Ce qui est fou, c’est que les américains ont dû donner leur or à l’État.

Pas parce qu’ils le voulaient, mais parce que la loi les y obligeait !

Alors imagine, ta liberté de posséder quelque chose de valeur, mise à mal par un ordre exécutif, du jour au lendemain.

Tu en penses quoi ?

C’est un chapitre noir qui nous offre un joli casse-tête.

Comment les politiques publiques, sous le couvert du « bien commun » et de la crise, peuvent-elles te faire plier, toi et tes libertés de propriété individuelle ?

C’est là que tu dois te demander si c’est légitime, moral, éthique ?

La balance entre droits individuels et nécessités collectives, elle se place où selon toi ?

Donc, quand tu penses propriété individuelle, ne vois pas juste le fait de posséder des trucs.

C’est plus gros que ça : c’est un fatras de droits, de libertés et de complications.

Surtout quand ces derniers se retrouvent nez à nez avec les besoins du groupe, de l’économie et de la société.

Un vaste champ de bataille, et crois-moi, l’enjeu vaut le détour.

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Confisquer la propriété individuelle : un air que l’histoire connait bien.

Le pouvoir, cette subtile machinerie, qui, une fois plongée dans les griffes d’âmes bien ténébreuses, valide l’injustifiable sans même battre des cils.

Fais donc une petite virée dans ta mémoire et revois la Chine, l’Allemagne nazie, Cuba

Ces nations oh combien festives qui ont orchestré avec brio des saisies de propriétés en grande pompe.

Se planquant derrière toute une panoplie de prétextes, allant du communisme à l’aryenisation, en traversant des révolutions aussi étincelantes que trompeuses.

La « vérité », que ces régimes hurlaient à pleins poumons, s’est métamorphosée en une béquille qui donne une leçon de morale.

Permettant ainsi la spoliation de propriétés individuelles sous les ovations et les acclamations de la « nécessité ».

Garde l’œil, Spartiate, ne te fais pas embobiner par cette mélodie obscure qui a bercé, berce, et berce toujours notre précieuse propriété individuelle.

La légitimité du « bien commun » pour te spolier

Le « bien commun », est-ce que ce n’est pas là un somptueux paravent, brandi avec élégance pour dissimuler les pires atrocités de la spoliation ?

N’est-il pas déconcertant, voire carrément absurde, de songer à comment une notion aussi pure, aussi noble, peut se voir déviée, tordue, et manipulée pour masquer les motivations les plus obscures et malveillantes ?

Imagine, rien qu’un instant, un futur pas si lointain, où un nouvel ordre exécutif retentit.

Faisant trembler tes économies durement acquises, tes investissements minutieusement pensés, ou encore ton humble demeure, désormais dans l’étreinte ferme de l’État.

C’est un concept à la fois fascinant et terrifiant, Spartiate.

Un idéal, le « bien commun », habilement employé comme cheval de Troie pour te soustraire, sans que tu ne le voies venir, ces petites (ou grandes) choses qui t’appartiennent en propre.

Sur quelle justification cette fois ?

Une crise écologique enveloppant notre terre mère de pleurs et de souffrances ?

Une nouvelle pandémie, glissant silencieusement à travers nos rues et nos foyers ?

Ou peut-être une nouvelle récession, étranglant notre économie, notre prospérité dans un étau de désespoir et d’incertitude ?

Et ici réside le cœur obscur de ma réflexion.

L’utilisation du « bien commun » comme voile couvrant les dépossessions.

Justifiant les atteintes aux libertés, et surtout, érodant incessamment, notre chère propriété individuelle



Comment protéger tes actifs face à l’incertitude ?

Il est impératif, Spartiate, de faire un zoom avant sur ce que t’offre le vaste monde des finances.

Pose-toi cette question capitale :

Comment protèges-tu ton trésor contre les imprévus de ce monde impitoyable ?

Diversification ?

Penses-y comme la salsa des investissements.

Chaque composante apporte son petit goût et, ensemble, ils te livrent une symphonie en bouche.

Ou investissements à l’étranger ?

Imagine-toi en aventurier des temps modernes, explorant de nouveaux horizons dorés.

Sans oublier l’acquisition de biens tangibles !

Ce sont tes joyaux, des trésors à palper, sentir et voir.

Mais, comme dirait le sage de la bourse, la clé du royaume réside dans l’information et l’anticipation.

C’est ton grimoire et ta boule de cristal.

Alors, prends les rênes, guerrier financier !

Sois toujours un pas devant.

Que le doux chant de Morphée, avec ses rêves de confort, ne t’entraine pas dans un sommeil profond.

Te faisant oublier que la sécurité totale, c’est comme le trésor des pirates.

Convoité mais rarement trouvé.

Éveiller ta conscience pour devenir le gardien de ton avenir financier

Il est vital de comprendre que ta conscience financière est la première ligne de défense contre toute tentative d’érosion de tes droits.

Parce que, rappelle-toi, la connaissance, Spartiate, c’est le pouvoir.

Prends en main ta destinée financière.

Informe-toi, discute, et surtout, reste éveillé face aux éventuels abus de pouvoir qui pourraient, un jour, te toucher de près.



Il n’est pas question de semer la peur ou de proclamer que chaque décision gouvernementale cache une intention malveillante.

Non.

C’est un appel à l’éveil, à la compréhension qu’en tant que citoyen, il est de ta responsabilité de protéger tes actifs et de rester vigilant face aux actions de ceux qui détiennent le pouvoir.

L’histoire nous l’a démontré à de multiples reprises : la frontière est mince entre la protection du « bien commun » et la spoliation de la propriété privée.

ARES


FAQ

Qu’est-ce que l’Ordre Exécutif 6102 et quel lien a-t-il avec la propriété individuelle ?

L’Ordre Exécutif 6102 a été un décret signé par le président Franklin D. Roosevelt en 1933, obligeant tous les citoyens américains à vendre leur or au gouvernement afin de soutenir l’économie durant la Grande Dépression. Cet acte pose des questions sur la façon dont les intérêts de l’État peuvent parfois éclipser le droit de propriété individuelle au nom du « bien commun

Comment la spoliation de propriété s’est-elle manifestée historiquement dans différents régimes politiques ?

À travers l’histoire, dans des pays comme la Chine, l’Allemagne nazie, ou Cuba, la spoliation de propriété a été orchestrée sous divers prétextes, tels que le communisme ou l’aryenisation. Cela démontre que la propriété individuelle peut être vulnérable face aux puissances étatiques agissant sous le couvert du « bien commun »

En quoi le « bien commun » peut-il être utilisé comme un outil de spoliation ?

Le « bien commun » peut être invoqué pour justifier des actions drastiques dans des périodes de crise ou d’instabilité, telles que des saisies de biens pour soutenir l’économie ou répondre à d’autres urgences. Cependant, cela pose question quant à l’éthique et la légitimité de compromettre les droits individuels au profit des besoins perçus de la majorité ou de l’État.

Quels sont les moyens de protéger nos actifs et notre propriété individuelle face à l’incertitude et aux potentiels abus étatiques ?

La diversification des investissements, l’exploration de marchés étrangers, et l’acquisition de biens tangibles sont des stratégies pour protéger les actifs. Être bien informé et anticiper les mouvements du marché et les politiques gouvernementales sont également cruciaux pour la sécurité financière.

Comment la propriété individuelle est-elle plus qu’une simple possession matérielle dans ce contexte de « bien commun » ?

La propriété individuelle est un ensemble complexe de droits et de libertés, qui devient particulièrement délicat quand il est confronté aux besoins collectifs ou de l’État. Cela transcende la possession matérielle et englobe des questions sur l’autonomie, la sécurité financière et les libertés individuelles.


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ARES

Les institutions maintiennent dans une ignorance crasse en matière de finances personnelles et sur internet le premier contact avec l'investissement est souvent une arnaque. J'ai créé Ares Revenu Passif pour armer le plus grand nombre possible de personnes et leur permettre de prendre leur souveraineté financière. Entrepreneur et Investisseur depuis plus de 15 ans, je suis également Consultant Blockchain Certifié, Conseiller Financier Indépendant Certifié et en cours d'agrément AMF.

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